L'apparition de la Vierge de Guadalupe confortée par la science moderne

On le sait, la science ne fait généralement pas bon ménage avec le « surnaturel ». Mais en ce qui concerne l’apparition de la Vierge de Guadalupe, les scientifiques, médusés, ne peuvent que s’incliner devant des preuves hallucinantes fournis par les moyens d’investigation les plus pointus.  Des découvertes toutes plus étranges les unes que les autres concernant la tilma -  c’est-à-dire la cape qui revêtait Juan Diego lorsque la Vierge lui apparut - s’ajoutent les unes aux autres au fur et à mesure que la science progresse. Aussi,

force est de constater que l’apparition du 12 décembre 1531 n’est ni un canular, ni une hallucination collective.

1ère preuve incontestable : la résistance miraculeuse de la tilma.

Ce manteau céleste est fait à partir d’un cactus, l’agave. Fragile, un tel tissu tombe normalement « en loques » au bout de 20 ans. Or, la tilma est demeurée à l’air libre pendant plus de cent années avant que l’on s’avise de la protéger avec un cadre recouvert d’un verre. Et pourtant, elle est intacte comme au premier jour. De plus, en 1921, une main anonyme plaça une bombe dans un vase abritant des fleurs au pied de la tilma. Tout autour, les dégâts furent considérables. Mais, situés juste au-dessus de la bombe, le cadre, le verre et la tilma elle-même demeurèrent intacts.

2ème preuve incontestable : l’image de la Vierge imprimée sur la tilma est d’origine « surnaturelle ».

Lorsque Juan déroula son manteau devant l’évêque, sa tilma laissa apparaître l’image parfaite de la Vierge Marie - telle que l’on peut encore la contempler de nos jours – visible sur l’endroit et sur l’envers du manteau. Cette « photographie » est déjà en soi étonnante. D’autant plus que selon Frère Mojica, spécialiste de l’histoire sainte, la Vierge est habillée comme elle devait l’être en Palestine.

Un(e) sceptique peut certes avancer qu’il s’agit là d’une peinture fabriquée par un habile faussaire. Mais il faudrait alors, pour soutenir cette hypothèse, qu’il (elle) fournisse une réponse satisfaisante aux questions suivantes.

  • Comment expliquer que la représentation de la Vierge ait été exécutée directement, sans apprêt, ce qui, compte tenu de la nature même du tissu, constitue une impossibilité absolue (tous les artistes peintres le confirment) ?
  • Comment expliquer que cette représentation ait résisté aux outrages du temps :

elle n’est pas craquelée et les couleurs sont vives comme au premier jour malgré l’exposition permanente de la tilma aux lumières et aux fumées d’innombrables bougies ?

  • Comment expliquer que les colorants n’aient aucune origine animale, minérale ou végétale connue (phénomène mis en évidence en 1936 par le célèbre biochimiste Richard Kuhn, distingué par le prix Nobel) ?
  • Comment expliquer qu’aucune trace de coups de pinceau ne soit décelable à l’analyse microscopique (ce qui fut mis en évidence en 1979) ?

On ne le peut pas car, de fait, cette image uniformément lisse semble correspondre à un « flash » imprégnant d’un seul coup les fibres avec une intensité énorme. Ce qui est confondant !

3ème preuve incontestable :

les yeux de la Vierge ont « photographié » la scène.

Plus fantastique encore ! Un examen attentif de l’œil droit de la Vierge laisse apparaître l’image d’un indien barbu distant de 30 à 40 centimètres. Cinq ophtalmologistes ont conclu que l’on y voyait bien un homme, bras étendus devant lui, portant des objets rouges. Ce qui laisse à penser que Juan et ses roses ont été « imprimés » pour l’éternité dans le regard de la Madone dont les yeux semblent étonnamment vivants.   

4ème preuve incontestable : une carte du Mexique.

La tilma comporte des motifs variés et complexes qui forment une carte du Mexique avec ses montagnes, ses grandes rivières et ses principaux lacs. Mais le plus étonnant reste à venir.

5ème preuve incontestable : un ciel vieux de plus de 400 ans.

Le voile de la Vierge est semé d’étoiles d’or qui reproduisent exactement le ciel tel qu’on pouvait le voir au-dessus de Mexico, le 12 décembre 1531. Ce fut démontré par l’astronome Hernandez Illescas qui l’a reconstitué par informatique.

Des pinceaux qui ne sont pas de ce monde.

Cette cascade de découvertes incroyables concernant ce qui n’est, finalement, qu’un simple bout de tissu, défie la raison. Et pourtant, le mystère ne fait que s’amplifier lorsque l’on sait qu’elles sont dues  à la technologie moderne la plus avancée. Le miracle que constitue l’apparition de la Vierge de Guadaloupe ne fuit donc pas devant la science qui, bien au contraire, le justifie.

Ainsi, on peut conclure avec Pie XII que la représentation de la Vierge « imprimée » sur la tilma a été faite par « des pinceaux qui ne sont pas de ce monde ».

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