L'Enfant Jésus de Prague - Des Miracles à n'en plus finir

L'Enfant Jésus de Prague - Des Miracles à n'en plus finir

Mourante, elle retrouve la santé en quelques instants.

« Nous sommes en juillet 1639 quand un homme richement vêtu se présente à la porte du couvent et sollicite un entretien avec le frère Cyrille.

Il s’agit du comte de Kolovrat. Sa requête est inhabituelle : il souhaite que l’on porte une représentation de l’Enfant-Jésus auprès de son épouse gravement malade. Sa femme, explique-t-il, souhaite ardemment être mise en présence de l’effigie sacrée alors que les médecins se déclarent impuissants à la traiter.

Frère Cyrille se rend sans délai au chevet de la comtesse. C’est une mourante qui l’accueille. En dépit des objurgations de son mari l’incitant à regarder l’Enfant-Jésus « pour être guérie », la malade peine à ouvrir l’oeil et semble à la dernière extrémité. Puis, lentement, ses paupières se soulèvent à demi et son regard finit par se diriger vers ce que tend vers elle frère Cyrille. Quel changement, alors ! Le visage cireux se colore d’un coup, les yeux s’écarquillent et un sourire ravi illumine la malade. Elle tend aussitôt les bras à l’Enfant-Jésus de Prague et le presse avec tendresse sur son coeur. 

La comtesse venait d’être miraculeusement guérie. » 

(Extrait du livre « Les Portes du Ciel » d’André Hauterive)

Ce fut, sans doute, le premier miracle à mettre au compte de l’Enfant-Jésus de Prague.

Nombreux furent ceux qui allaient suivre. En effet, selon de nombreux témoignages attestés, l’Enfant-Jésus de Prague répond aux plus profondes détresses.

Depuis des siècles que cela dure, on ne compte plus le nombre de celles et ceux qui furent guéris, sauvés de la malchance et protégés par l’Enfant-Jésus de Prague.

Sauvé d’une maladie dont on ne guérit pas.

« En 1941, dans un tout autre contexte, Vicente Da Monte, que rien ne distinguait de sesconcitoyens de Campochiesa (Savoie), s’étant blessé au pied, négligea de se soigner, croyant à une coupure bénigne. Hélas, le tétanos se déclara… A l’hôpital, les médecins jugèrent qu’il était trop tard pour Vicente et qu’en dépit de leurs soins, le malade allait succomber… 

Les derniers sacrements furent donnés au malade comme un ultime réconfort spirituel puisque aucune amélioration physique ne pouvait s’envisager. Un proche demanda alors à toute la famille de confier la destinée de Vicente à l’Enfant-Jésus de Prague. Des prières ardentes montèrent de bien des coeurs désolés de voir partir un mari, un père, un frère... 

Et ce qui ne devait jamais advenir – selon la médecine – arriva.

L’homme guérit et se remit sans aucune séquelle d’une affection normalement mortelle. » 

(Extrait du livre « Les Portes du Ciel » d’André Hauterive)

 

Saine et sauve sous les gravats.

  • En 1939, à Bengasi, un garçon tombe de plus de 15 mètres de haut du balcon d’un immeuble. Porteur d’une médaille de l’Enfant-Jésus de Prague, il s’en tire sain et sauf. 
  • Les habitants d’Arenzano sont convaincus que le sanctuaire qu’on trouve en cette ville – dédié à l’Enfant-Jésus de Prague - et son précieux occupant les ont sauvés durant la dernière guerre mondiale. La ville, bombardée par les forteresses volante de la Force aérienne des Etats-Unis (USAF) qui déversèrent sur elle de tonnes de bombes, n’eut à déplorer que des dégâts minimes et de rares victimes. 
  • Le 28 mai 1959, à Presolana, deux adolescents partent pour une escalade en montagne. L’un d’eux décroche et est miraculeusement rattrapé par un escarpement de rocher. Avant cette péripétie, il avait perdu la foi. Mais le matin même, à son insu, sa mère, très pieuse, avait glissé dans sa poche une médaille dédiée à l’Enfant-Jésus de Prague.
  • Dernier exemple enfin (mais je pourrais en citer des centaines d’autres) : à la même période, une fillette traverse sans précaution la voie ferrée à vélo lorsque le train arrive et passe dessus ; encore une fois l’enfant, porteuse, sans le savoir, de la médaille vouée à l’Enfant-Jésus de Prague, est sauvée (seul le vélo fut détruit).

(Extraits du livre « Les Portes du Ciel » d’André Hauterive) 

Retour au blog